Juristes pour l’Environnement au Congo, JUREC conseil en sigle, est une Organisation Non Gouvernementale de droit congolais créée en mars 2013 par un groupe d’individus passionnés par la protection de l’environnement et soucieux de la gestion durable des ressources naturelles.
JUREC est enregistrée au Ministère de la Justice en 2014 sous le F.92/22.415, et a obtenu conformément à la loi n°004/2001 du 20 juillet 2001 portant dispositions générales applicables aux Associations Sans But Lucratif et aux établissements d’utilité publique, la personnalité juridique suivant l’arrêté ministériel n°347/CAB/ME/MIN/J&GS/2023 du 21 octobre 2023 accordant la personnalité juridique à l’Association Sans But Lucratif non confessionnelle dénommée « Juristes pour l’Environnement au Congo » en sigle « JUREC Conseil ». En tant que partenaire du Ministère de l’Environnement et Développement Durable, JUREC a reçu l’agrément à travers la lettre ministérielle d’avis favorable n°1329/CAB/MIN/ECN-T/05/12/BNEM/2014 du 05 juin 2014.
JUREC est une organisation spécialisée sur les questions de protection et de promotion de l’environnement, la bonne gouvernance dans la gestion des ressources naturelles, y compris le respect des droits humains, spécifiquement les droits des Communautés Locales et Peuples Autochtones (CLPA) riveraines.
Elle offre également un accompagnement juridique & judiciaire aux Communautés Locales et Peuples Autochtones et assure ainsi la défense et la reconnaissance de leurs droits liés à la terre et aux ressources.
Dans le cadre de ses missions, JUREC œuvre notamment pour faciliter l’accès à l’information aux différentes parties prenantes et aux différents acteurs, spécifiquement sur les aspects juridiques liés à la gestion des ressources naturelles
Depuis sa création, JUREC est vouée à répondre aux défis planétaires de notre ère, particulièrement en République Démocratique du Congo et dans la sous-région d’Afrique centrale, caractérisés notamment par le changement climatique, la perte des forêts, l’érosion de la Biodiversité, la recrudescence du braconnage, l’exploitation incontrôlée des ressources et ses conséquences sur les droits humains, etc. ainsi que d’autres facteurs sociaux et économiques.